Ali Baba et les 40 voleurs
Nous sommes arrivés ce matin à Puerto Madryn, c'est le tout début de la Patagonie.
Première sensation plutôt positive car il fait beau!
Nous redoutions une chute brusque de températures...
Nous avons définitivement quitté Buenos Aires.
C'est vraiment une jolie ville chaleureuse comme en Espagne qui donne envie de danser le tango et boire du vin jusqu'à pas d'heure...
Nous étions prévenus du climat critique de certains quartiers et nous nous tenions sur nos gardes.
D'ailleurs, ça nous a fait bizarre après la Polynésie où nos couch surfeurs laissaient les clés sur leurs voitures, la porte ouverte toute la nuit... Même notre maison de location était une maison ouverte sans fenêtre, donc nos affaires étaient accessibles à tous toute la journée!
Mais nous ne redoutions rien sur les îles.
A Buenos Aires, ces derniers temps, on parle d' insécurité dans certains quartiers.
C'est comme ça qu'en nous promenant tous les trois, deux jeunes nous ont gentiment demandés notre sac à dos que Guillaume portait et l'appareil photo que Céline était en train d'utiliser.
Ce jour là, on a opté pour la fuite!
Le lendemain à la gare avec nos gros sacs, deux hommes se positionnent de chaques côtés de nous, l'un fait diversion pendant que l'autre asperge nos sacs de crème, puis tous les deux nous invitent à nos poser quelques minutes afin de nettoyer nos sacs.
Principe de la manoeuvre: profiter que nous posions nos affaires pour mieux nous les voler.
Même combat donc même attitude que la fois précédente: on prend la fuite avec nos sacs tout sales!
Arrivés à la gare, un type avec des billets en main nous demande de faire du change et s'offusque face à notre refus. En fait nous savons qu'il existe un large réseau de faux billets en Argentine qu'ils tentent d'écouler par tous les moyens. La preuve, nous revoyons ce même type qui nous redemande le même change lors de notre retour sur la capitale.
Le tout en moins de deux jours.
Welcome in Argentine!
Nous avons donc quitté la ville sur nos gardes et plus méfiants que jamais.
Sur la route nous passons brèvement par "La Pampa".
Enfin un paysage à mettre sur cette expression!
En fait il s'agit de champs à perte de vue avec des élevages de bovins.
Demain nous partons en expédition afin de voir les animaux que nous avions aperçu en Nouvelle-Zelande, les phoques, lions de mer et peut-être même des pingouins, faute de baleine qui elles sont reparties en Antarctique après avoir croisé les Boulets, on se demande bien pourquoi...
Céline & Guillaume.
Première sensation plutôt positive car il fait beau!
Nous redoutions une chute brusque de températures...
Nous avons définitivement quitté Buenos Aires.
C'est vraiment une jolie ville chaleureuse comme en Espagne qui donne envie de danser le tango et boire du vin jusqu'à pas d'heure...
Nous étions prévenus du climat critique de certains quartiers et nous nous tenions sur nos gardes.
D'ailleurs, ça nous a fait bizarre après la Polynésie où nos couch surfeurs laissaient les clés sur leurs voitures, la porte ouverte toute la nuit... Même notre maison de location était une maison ouverte sans fenêtre, donc nos affaires étaient accessibles à tous toute la journée!
Mais nous ne redoutions rien sur les îles.
A Buenos Aires, ces derniers temps, on parle d' insécurité dans certains quartiers.
C'est comme ça qu'en nous promenant tous les trois, deux jeunes nous ont gentiment demandés notre sac à dos que Guillaume portait et l'appareil photo que Céline était en train d'utiliser.
Ce jour là, on a opté pour la fuite!
Le lendemain à la gare avec nos gros sacs, deux hommes se positionnent de chaques côtés de nous, l'un fait diversion pendant que l'autre asperge nos sacs de crème, puis tous les deux nous invitent à nos poser quelques minutes afin de nettoyer nos sacs.
Principe de la manoeuvre: profiter que nous posions nos affaires pour mieux nous les voler.
Même combat donc même attitude que la fois précédente: on prend la fuite avec nos sacs tout sales!
Arrivés à la gare, un type avec des billets en main nous demande de faire du change et s'offusque face à notre refus. En fait nous savons qu'il existe un large réseau de faux billets en Argentine qu'ils tentent d'écouler par tous les moyens. La preuve, nous revoyons ce même type qui nous redemande le même change lors de notre retour sur la capitale.
Le tout en moins de deux jours.
Welcome in Argentine!
Nous avons donc quitté la ville sur nos gardes et plus méfiants que jamais.
Sur la route nous passons brèvement par "La Pampa".
Enfin un paysage à mettre sur cette expression!
En fait il s'agit de champs à perte de vue avec des élevages de bovins.
Demain nous partons en expédition afin de voir les animaux que nous avions aperçu en Nouvelle-Zelande, les phoques, lions de mer et peut-être même des pingouins, faute de baleine qui elles sont reparties en Antarctique après avoir croisé les Boulets, on se demande bien pourquoi...
Céline & Guillaume.