Les visas
Nous avons terminé notre visite d'Angkor, après trois jours de crapahutage au milieu des temples et ruines.
Nous avons profité de notre dernier jour pour visiter certains sites un peu éloignés en tuk tuk.
C'était vraiment agréable de se balader au milieu des villages et de pouvoir s'arreter quand on le souhaitait.
Notre séjour à Siem Reap (la ville la plus proche d'Angkor) se terminait donc et nous comptions rejoindre le Mékong afin de remonter tranquillement vers le nord du pays.
C'était sans compter sur un petit imprévu...
Hier la veille de notre départ quand même, nous nous rendons compte que nous ne pouvons pas passer la frontière du Cambodge vers le Laos sans avoir au préalable fait nos visas...
Et les visas, se font soit de Phnom Penh, la capitale que nous avons déjà visité, soit de Siem Reap où nous étions. Mais puisque nous étions à un jour du week-end, donc à un jour de la fermeture des ambassades, nous étions bloqués là encore quatre jours...
Et là ne croyez pas que ça nous a fait plaisir mais nous avons choisi de retourner sur Phnom Penh ou nous pouvons les faire en express et ainsi retourner passer une nuit dans le formidable loft de Darryl!
Nous sommes donc arrivés hier soir et restons ce soir aussi puisque Darryl nous a proposé une petite soirée avec sa femme (qui vit au Laos) qui vient passer le week-end au Cambodge.
Et ça c'est vraiment le bon plan pour nous car ça nous fait un contact pour le Laos...
Mais vraiment on vous l'a dit, ça nous fait pas du tout plaisir d'être revenu et c'est pas de gaité de coeur qu'on profite de ce superbe appartement...
J'allais oublier le trajet en bus hier pour revenir sur la capitale.
Nous étions habitués en Afrique à doubler (à l'aise) le nombre de siège et à se serrer un peu.
Hier, on a fait mieux, la compagnie de bus a crée des strapontins avec des chaises en plastique, comme les salons de jardin, sympa pour un trajet de douze heures!
N'empeche qu'on en rigole avec vous mais les visas en règle générale, c'est toujours une source d'ennuis.
En fait c'est surtout un bon moyen pour se faire de l'argent pour les ambassades et un prétexte facile pour réclamer des bakchichs.
Céline & Guillaume.
Nous avons profité de notre dernier jour pour visiter certains sites un peu éloignés en tuk tuk.
C'était vraiment agréable de se balader au milieu des villages et de pouvoir s'arreter quand on le souhaitait.
Notre séjour à Siem Reap (la ville la plus proche d'Angkor) se terminait donc et nous comptions rejoindre le Mékong afin de remonter tranquillement vers le nord du pays.
C'était sans compter sur un petit imprévu...
Hier la veille de notre départ quand même, nous nous rendons compte que nous ne pouvons pas passer la frontière du Cambodge vers le Laos sans avoir au préalable fait nos visas...
Et les visas, se font soit de Phnom Penh, la capitale que nous avons déjà visité, soit de Siem Reap où nous étions. Mais puisque nous étions à un jour du week-end, donc à un jour de la fermeture des ambassades, nous étions bloqués là encore quatre jours...
Et là ne croyez pas que ça nous a fait plaisir mais nous avons choisi de retourner sur Phnom Penh ou nous pouvons les faire en express et ainsi retourner passer une nuit dans le formidable loft de Darryl!
Nous sommes donc arrivés hier soir et restons ce soir aussi puisque Darryl nous a proposé une petite soirée avec sa femme (qui vit au Laos) qui vient passer le week-end au Cambodge.
Et ça c'est vraiment le bon plan pour nous car ça nous fait un contact pour le Laos...
Mais vraiment on vous l'a dit, ça nous fait pas du tout plaisir d'être revenu et c'est pas de gaité de coeur qu'on profite de ce superbe appartement...
J'allais oublier le trajet en bus hier pour revenir sur la capitale.
Nous étions habitués en Afrique à doubler (à l'aise) le nombre de siège et à se serrer un peu.
Hier, on a fait mieux, la compagnie de bus a crée des strapontins avec des chaises en plastique, comme les salons de jardin, sympa pour un trajet de douze heures!
N'empeche qu'on en rigole avec vous mais les visas en règle générale, c'est toujours une source d'ennuis.
En fait c'est surtout un bon moyen pour se faire de l'argent pour les ambassades et un prétexte facile pour réclamer des bakchichs.
Céline & Guillaume.